Cette référence des «1001», malgré le titre, n'ambitionne évidemment pas d'imposer un choix de visionnage, mais plutôt d'éclairer sur des films et des réalisateurs, surtout moins connus dans son propre pays hors USA, puis si affinités, d'étendre ses visionnages à d'autres choix pour le même réalisateur. Il en est de même pour Télérama, repris ici car moins focalisé sur la production Anglo-Saxonne (ré-équilibré Europe-Russie-Asie), mais la suite de Télérama après 2009, sur Internet, y compris à ce jour, est très hétérogène, avec des 4T ou 3T, sans rapport avec leurs définitions dans le livre (plus temporaires et avec d'autres valeurs critiques, différentes) ce qui fait que seuls les 4T d'Internet après 2009 sont repris ici.
Depuis ces références, multi-éditions, et commerciales (la dernière pour «1001» date de 2021), des sites Internet de réseaux sociaux comme SensCritique, ou, documentaliste comme en Anglais IMDB ou TSPDT et bien sûr Wikipedia, pour le cinéma, sont allés bien plus loin… et ils peuvent constituer une (meilleure, plus actuelle) alternative, ou un complément, à la découverte (avec d'autres biais !).
Ici, les films abandonnés des éditions précédentes des «1001» sont conservés, mais sont moins pondérés et ne sont signalés que «1002» !
L'année du film est en principe celle de la production, pas celle de la sortie où que ce soit (mais le contrôle est imparfait, pas terminé).
Certains films ont été vus avant 2000, et il faut les revoir pour les annoter et les commenter (et dans cette attente ils restent vierges).
Le cinéma est considéré comme le 7ème art, assurément certes, mais c'est le 1er art fondé sur le financement, sur le levier de l'argent, sur le retour sur l'investissement ou sur de l'argent public, et en ce sens, objectivement, c'est un art plus temporel et temporaire que les autres avec son cortège de désuétude, ce qui fait qu'ici, les grands films intemporels au sens d'œuvres d'art ne se comptent que par de maigres centaines et c'est finalement assez peu en 100 ans et des centaines de millards de US $ dépensés (d'ailleurs, les films sélectionnés voient leurs notes changer dans «1001» comme dans Télérama, suivant les goûts, les époques, les critiques, le temps qui use… comme tout produit temporel). Enfin, bonne nouvelle, beaucoup de films anciens sont visionnables gratuitement et en qualité restaurée sur Internet Archives (https://archive.org).
Attention, pour les mélomanes de musique contemporaine, il faut bien différencier celle-ci (quelques dizaines de créations en concerts live par an, presque jamais ré-interprétées dans la même région lors des 5 ans suivants, donc une barrière insurmontable) et les films de cinéma (environ 400 nouveautés significatives par an, vite re-visionnables en DVD, pour une durée moyenne de 90 minutes, une barrière facile à surmonter) et les romans (au moins 700 fictions sur la seule période de rentrée entre Septembre et Noël chaque année, pour une durée moyenne de lecture de 5 heures au minimum, une barrière de relecture difficile à surmonter sauf ponctuellement). Par conséquent, si la partie de ce site vise l'objectivité et la pluralité pour la musique contemporaine, sur toute une vie marquée par l'écoute musicale, le présent sous-site pour les films de cinéma et pour les romans de fiction est lui totalement subjectif et correspond à une appréciation personnelle de visionnages et de lectures, pour une tranche d'âge au-delà de 50 ans.